La Bannière Notre-Dame de la paroisse 

Urbanisme

A l’origine, il s’agissait d’un territoire dont les habitants étaient soumis à l’autorité spirituelle d’un curé. Une circonscription d’on tirait également profit l’administration puisqu’elle était le ressort de perception de la dîme bien sûr, mais également de certains impôts royaux et seigneuriaux. Une division ecclésiastique qui disparaîtra à la Révolution au profit des municipalités et autres communes.

Source : Europe1 | Économie

A La Gacilly…

Le fief seigneurial de La Gacilly était alors très étendu et comptait de nombreux arrière-fiefs s’étendant sur six paroisses : Carentoir, Cournon, Glénac, Les Fougerêts, Saint-Martin-sur-Oust et Ruffiac.

Chaque paroisse constituait un établissement légal et régulier pour l’administration des biens du culte avec un certain côté administratif pour la gestion des intérêts généraux des paroissiens, c’est à dire jouait un peu le rôle de nos mairies et perceptions actuelles.

Au début du Xe siècle, l’évêché de Vannes était composé de 172 paroisses et de 6 doyennés dont celui de Carentoir. […]

Chaque paroisse, à cette époque, avait son église baptismale ainsi appelée parce qu’elle était la seule dans laquelle le sacrement de baptême pouvait être administré ; en général, elle était située au siège du doyenné. Ce n’est qu’en 1573 que les baptêmes pourront être administrés dans l’église tréviale de La Gacilly.

Source : La Gacilly | Paroisse